Installé en 1995 sur l’exploitation agricole et viticole familiale à Chantemerle, Jean-Baptiste Seguin est rejoint par son épouse en 2005, date à laquelle la marque Champagne Seguin est créée. Salariée à temps plein de l’EARL, Carine Seguin s’occupe des quelques 6 ha de vignes, sur les coteaux sézannais et près de Dormans, avec son mari, un salarié (à temps plein sur les deux activités) et un autre à la tâche.
Administrateur de la coopérative de Bethon – où le raisin a toujours été livré par la famille – Jean-Baptiste Seguin laisse le soin à la coopérative d’élaborer son champagne qu’il commercialise avec sa femme en direct et sur des salons.
C’est à l’occasion du VITeff que le couple rencontre l’équipe de TER’Informatique à qui ils font confiance : « nous avons d’abord pris TER’Viti pour la facturation, puis TER’Paie et TER’Vend »,
explique Carine Seguin qui, depuis cinq ans, a opté pour la version Web de TER’Vend. A ce sujet elle est tout à fait satisfaite de la solution : « C’est d’une simplicité par rapport au TESA ! », qui demandait de se « plonger » dans la législation tous les ans. « TER’Vend est spécifique aux vendanges, c’est très bien car cela ne se mélange pas avec les paies traditionnelles et permet d’en savoir un minimum sur la législation », ajoute-t-elle. Avec la version Web, elle apprécie la simplicité de la dématérialisation des documents légaux (DSN, déclaration à Pôle Emploi…).
Cette année, la vendange s’annonce fin août, à cheval sur deux mois ; il lui faudra donc faire tout en double : grille de temps, bulletin de salaire, DSN. Parmi les 16 vendangeurs et 2 porteurs employés pour les vendanges se trouvent parfois des étrangers :
« La gestion des vendangeurs étrangers dans TER’Vend Web ne pose aucun problème ».
« Les fiches des anciens vendangeurs sont archivées et je peux les réactiver si l’un d’eux revient quelques années plus tard ».
Et si un problème survient, Carine Seguin peut compter sur l’assistance téléphonique de l’équipe TER’Vend « très agréable » et disponible 7 jours sur 7 lors des vendanges. D’ailleurs, elle n’hésite pas à solliciter Madame Tellier ou Madame Rousseaux pour « de l’assistance individualisée » quand il s’agit de réutiliser le logiciel au moment de la récolte.